Sainte-Pétronille…et l’arbre à fée (été 2020)

Toutes les grandes personnes ont d’abord été des enfants, mais très peu s’en souviennent.

Ce rendez-vous à la petite maison des fées…nous l’attendions toutes les deux. Au printemps de ses trois ans…on s’est imaginé les fées, leurs couleurs, leur petit visage, le son qu’elles font…si nous pouvions les entendre!? Est-ce qu’elles viendront nous saluer!?

Dès que possible, le plus vite possible…nous y serons, toutes les deux!

Août 2020: Ça y est! Nous voilà en route. Un trajet de 345 kilomètres pour s’y rendre. Un bon temps pour la sieste.

Cet arbre à fée se trouve tout à côté de « la cabane des mots qui font fleurir » à Ste-Pétronille sur l’île d’Orléans. Cette idée est inspirée du roman « Une irrésistible envie de fleurir » de Christine Michaud, ce livre que j’ai lu lorsque la vie s’est placée sur pause, au début de l’hiver 2020. C’est d’ailleurs sur un petit bout de son terrain, qu’elle a aménagé ce lieu de bienveillance.

C’est en fin de journée que nous arrivons sur l’île. Pour la nuit, on se dirige vers St-François-de-l’île-d’Orléans. Je sais que le stationnement de l’église St-François permet d’y passer la nuit et en bonus…la vue sur le fleuve. Belle vie va!

Doux matin avec mon amoureuse d’amour….

Au presbytère, de l’autre côté de la rue…les pâtisseries sont bonnes.

On prépare nos messages gentils pour la boîte aux papillons…

En route vers Ste-Pétronille

Sur le trajet, la confiturerie Tigidou. Voici le lien: https://www.tigidou.ca

Pour accéder au sentier vers la cabane, il faut traverser le « pont de l’espoir » et…y faire un voeu.

La cabane des mots qui font fleurir est un endroit pour ralentir et faire des rencontres magiques…comme des petites fées. On y va pour échanger des livres, mais aussi pour partager des mots gentils…

Avant d’entrée dans la cabane, elle a placé son message dans la boîte aux papillons…puis, elle en a pris un…

En sortant de la cabane, une petite fille accompagnée de sa mère venait de piger le message qu’elle y avait déposé…et ses yeux.

Puis, nous nous sommes dirigées vers l’arbre aux fées. La fine pluie n’a pas permis aux fées de venir nous saluer…leurs ailes sont si fragiles, elles briseraient sous la pluie. Cette naïveté de l’enfance est touchante…